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Découvrez l’histoire et le futur de la mythique salle Claridge (et comment vous pouvez soutenir cette entreprise familiale via la campagne de crowdlending sur BeeBonds)

BeeBonds Vignettes Youtube 1

La célèbre salle du Claridge à Bruxelles est bien connue de plusieurs générations de Bruxellois. Cette salle a ouvert ses portes il y a plus de 88 ans.

Reprise en 2013 par une famille d’entrepreneurs. Le Claridge est passé de discothèque à un lieu de réception et de culture ouvert tant aux particuliers qu’aux entreprises.

Dans cette vidéo, découvrez :

  • Qui est Monsieur Ben, l’entrepreneur qui a fait de la reprise du Claridge l’un des ingrédients d’une nouvelle orientation après une longue et fructueuse carrière dans le commerce et la distribution;
  • Pourquoi et comment le modèle économique du Claridge a évolué ces dernières années en passant d’un lieu de nuit à une entreprise événementielle tournant à plein régime au moment du début de la crise du COVID ;
    Quelles sont les motivations qui ont poussé Monsieur Ben a se tourner vers le crowdlending pour redonner de l’air au projet dans laquelle sa famille est pleinement investie ;
  • Quelles sont les raisons qui ont mené BeeBonds à croire dans ce beau projet et à proposer le niveau sans précédent de garanties proposées aux investisseurs pour une campagne de financement participatif dans le domaine immobilier ;
  • Comment les montants levés seront investis dans un projet de rénovation de 8 appartements dans une rue où une majorité d’appartements ont été vendus sur plan.

Transcription de la vidéo

[00:00:02.310] – Philippe Szombat
Bonjour à tous, pour ceux qui nous voient sur Facebook Live, évidemment, voilà déjà deux invités surprise. C’est deux invités qui n’ont pas l’habitude d’être derrière les micros. En tout cas, pas à ce niveau là. Ils sont plutôt dans les bureaux d’Arabel. J’ai le plaisir, l’honneur de recevoir deux personnalités d’Arabel, c’est à dire Monsieur Ben lui-même. Bonsoir Monsieur Ben.

[00:00:28.140] – Monsieur Ben Yaghlane (“Monsieur Ben”)
Bonsoir

[00:00:28.140] – Philippe Szombat
Et son fils Taïeb.

[00:00:30.360] – Taïeb Ben Yaghlane
Bonsoir.

[00:00:31.110] – Philippe Szombat
Bonsoir Taïeb. Alors, pourquoi c’est exceptionnel ? Parce qu’effectivement, j’ai dû insister longuement pour ça. En fait, ça s’est décidé. J’avais fait la demande il y a une semaine. Que Monsieur Ben vienne ici. Et il a fallu jusqu’à la dernière minute aujourd’hui pour qu’il accepte d’être présent. Et voici pourquoi. Il m’a dit : voilà, je suis le patron d’Arabel. Il ne l’a pas dit comme ça, mais je traduis. Et je ne veux pas être dans les émissions. En l’occurrence, il m’a semblé nécessaire et important que Monsieur Ben, qui est un entrepreneur exceptionnel avec une longue histoire entrepreneuriale pour ceux qui la connaissent. Déjà, le fait de reprendre une radio telle qu’Arabel avec une âme, avec une histoire qui est derrière, marque effectivement une personne d’honneur et exceptionnelle. Et donc, à cet effet, évidemment, il m’a semblé nécessaire que, comme Arabel pas son seul projet avec son fils Taïeb qui sont ici. Puisqu’effectivement, c’est une entreprise familiale. Il m’a semblé important qu’il puisse venir parler lui-même de son projet. Alors Joël, on parle ici d’un projet quand même historique ?

[00:01:53.860] – Joël Duysan
Oui, pour nous, c’est d’abord le Claridge. Aujourd’hui il y avait un article amusant de Philippe Coulée dans l’Echo de la Bourse qui dit: Il faut sauver le soldat Claridge ! Et c’est vrai qu’il y a possibilité de sauver le soldat Claridge par un financement citoyen. Par un financement citoyen et qui sera muni d’une garantie hypothécaire de premier rang. Et pour BeeBonds, c’est vraiment exceptionnel, dans le sens où c’est la première fois qu’on s’adresse aux investisseurs en leur proposant de financer un projet immobilier pour lequel on peut leur donner une garantie hypothécaire de premier rang. Ça ne s’est jamais fait.

[00:02:30.410] – Philippe Szombat
Et premier rang, ça veut dire que les premières personnes qu’on rembourse, ce sont les investisseurs BeeBonds.

[00:02:38.830] – Joël Duysan
Oui. Parce que sur les montants qui sont proposés au financement, ça va de 1,4 million minimum à 1,8 million d’euros maximum. Voilà, M. Ben expliquera mieux que moi. Mais toujours est-il que nous avons réussi pour les investisseurs qui font confiance malgré tout Claridge et qui veulent redynamiser le Claridge et permettre à Monsieur Ben et son fils de pouvoir vendre au mieux de leurs intérêts les 8 appartements qui sont en façade, Chaussée Louvain. Mais nous, on a dit OK, on veut bien le faire. On a beaucoup de respect pour vous. Mais pour les investisseurs, si on pouvait avoir des garanties puisque la banque ne sera plus là. Et M. Ben a dit : ok, je délivre 100 % de garantie en mandat hypothécaire de premier rang. Et pour nous, c’est vraiment exceptionnel parce que ça s’est jamais fait.

[00:03:21.720] – Philippe Szombat
C’est une marque de confiance quelque part absolue.

[00:03:24.000] – Joël Duysan
Par rapport aux investisseurs. C’est vraiment le projet qui est le plus sécurisé qu’on ait pu mettre sur la plateforme

[00:03:29.100] – Philippe Szombat
Sur les 30 projets dont on a parlé.

[00:03:31.680] – Joël Duysan
Oui, aucun projet n’a une garantie hypothécaire de 100 % sur un bien de premier ordre comme le Claridge. Et on est très fiers de pouvoir proposer aux investisseurs et ravis de pouvoir collaborer avec la famille ben

[00:03:43.680] – Philippe Szombat
Alors, Monsieur Ben, dites-moi parce que quand même, Claridge, c’est toute une histoire. D’abord, est-ce que vous pouvez un peu expliquer l’histoire en quelques mots du Claridge. Pour tout Bruxellois, c’est évidemment “the place to be”. Quand on dit Claridge, il y a des étoiles dans les yeux de tout le monde. Racontez nous un peu l’histoire et aussi pourquoi vous avez décidé il y a 8 ans? C’est bien ça ? D’investir dans le Claridge.

[00:04:15.290] – Monsieur Ben
Premièrement, la salle Claridge, c’est une salle mythique à Bruxelles. Toute la génération des 40 ans et plus l’a en mémoire. C’est une salle qui a laissé beaucoup d’échos. Je rappelle aussi que c’est une salle qui a presque 88 ans d’existence.

[00:04:35.730] – Philippe Szombat
Presque centenaire déjà

[00:04:40.650] – Monsieur Ben
Je dirais qu’en 2013, c’est pour moi, une année charnière parce que je sors. Je commence à quitter le monde commercial classique vers un nouveau business, un business beaucoup plus social. Et c’est l’année où je me suis investi dans l’événementiel. Dans lequel je crois. Mais pas que l’événementiel. Le monde de la radio, de l’associatif.

[00:05:11.280] – Philippe Szombat
J’y pense maintenant. Monsieur Ben : vous êtes un rassembleur.

[00:05:15.730] – Monsieur Ben
Vous savez, à chaque age, on change de vocation. En 2013, c’était pour moi un grand changement. Je ne me contentais plus d’acheter du matériel, des choses matérielles et de revendre avec donne une plus value. Je trouvais que ça ne me donnait plus satisfaction. Voilà que je voulais. Je voulais changer d’orientation et voir que l’impact de ce que je fais se voit sur l’humain.

[00:05:51.920] – Philippe Szombat
En fait, vous n’avez plus rien à prouver. En fait, vous avez réussi dans votre vie. Jusqu’où vous êtes allé.

[00:05:59.240] – Monsieur Ben
J’ai fait une expérience. J’ai fait une humble expérience. J’ai appris beaucoup de choses, avec beaucoup de partenaires que je remercie tout au long d’un parcours. Maintenant en 2013, pour moi le changement est très important. Parce que la logique est différente. La vision est différente et le plaisir est différent. C’est difficile d’expliquer la plus value de mon travail dans une radio ou dans une salle événementielle par rapport à mon travail dans un supermarché.

[00:06:35.010] – Philippe Szombat
Mais n’empêche, vous avez créé de l’emploi. Il faut revenir sur votre parcours. Il ne faut jamais regretter quoi que ce soit et surtout, comme vous le faites souvent, regarder vers l’avenir. Aujourd’hui, il y a un projet : le Claridge. Vous avez investi donc, il y a 8 ans dans le Claridge. Vous avez investi votre âme, votre travail, votre énergie. Vous avez aussi inclus votre famille dans ce projet. Et aujourd’hui, comme disait effectivement Joël, dans L’Echo – l’un des plus grands journaux de Belgique – on dit “sauver le soldat Claridge”. Pourquoi le “sauver”?

[00:07:12.130] – Monsieur Ben
L’investissement dans le Claridge je le rappelle rapidement c’est s’engager dans le monde événementiel. Le monde événementiel est un monde très important. C’est une soupape de la société.

[00:07:24.850] – Philippe Szombat
Oui, mais à l’heure où aujourd’hui, j’entends encore aujourd’hui la culture, on essaye d’en parler de moins en moins. Mais est ce qu’il y a vraiment, cet âme?

[00:07:35.250] – Monsieur Ben
On ne peut pas vivre sans la culture.

[00:07:37.330] – Philippe Szombat
On est d’accord. Moi, j’en suis tout à fait d’accord.

[00:07:39.290] – Monsieur Ben
On ne pourra pas vivre dans le monde événementiel. Aujourd’hui, Bruxelles, on en parle peu, à une position internationale extraordinaire.

[00:07:51.490] – Philippe Szombat
C’est la deuxième ville la plus cosmopolite après Dubaï.

[00:07:56.980] – Monsieur Ben
Excatement.

[00:07:56.980] – Philippe Szombat
On ne peut pas empêcher 140 nationalités de sortir, de se rencontrer et de partager la culture.

[00:08:04.120] – Monsieur Ben
Et c’est la première raison. À tous nos auditeurs pour qu’ils comprennent pourquoi, aussi bien moi que mon fils. On est toujours attachés à l’activité. On y croit certainement dans la reprise, aussitôt que les conditions vont être levées.

[00:08:25.750] – Philippe Szombat
Tout à fait. En Israël, ils font la fête. En Angleterre, aussi, qui est encore plus proche.

[00:08:36.160] – Monsieur Ben
C’est la raison pour laquelle quand Joël m’a demandé : est-ce qu’il y a une possibilité de donner des garanties aux investisseurs? Je n’avais pas hésité une seconde. Maintenant. Pourquoi sauver le soldat ? Oui, parce que j’ai. J’ai eu une longue expérience avec les banques de 27 ans, 30 ans et je n’en peux plus.

[00:09:01.540] – Philippe Szombat
Expliquez-nous.

[00:09:04.360] – Monsieur Ben
Je n’en peux plus.

[00:09:06.180] – Philippe Szombat
Moi, je ne les aime pas non plus.

[00:09:09.520] – Monsieur Ben
Je n’ai pas cessé de le dire depuis quelques temps : les banques ne jouent plus leur rôle dans le secteur économique. Il faut en prendre acte et en prendre conscience et changer de partenaire. Et c’est la raison pour laquelle aujourd’hui, je me trouve en association avec BeeBonds pour ce projet là. Et vous savez quelque chose qui est très subtile, mais très importantes. Avoir le sentiment que des dizaines, des centaines de petits investisseurs ont cru en votre projet et ont mis avec vous de l’argent. Regardez la beauté. Donc, ce n’est pas une banque. Ce n’est pas un employé de la banque qui a décidé oui pour ce dossier là. Non, c’est une panoplie d’investisseurs, du petit investisseur aux grands investisseurs qui croient en votre projet. Quel plaisir ça donne à l’entrepreneur. Et quelle responsabilité ! Et ça, c’est différent. Et ça, moi, cette expérience qu’on a commencé. Je vous assure, elle m’a donné un nouvel engouement. Je suis à la fin de ma carrière. Je cède maintenant à mes enfants pour qu’ils continuent le chemin. Mais ce type de collaboration m’a donné un engouement à l’investissement.

[00:10:40.380] – Philippe Szombat
En fait ici on a d’un côté une plateforme humaine. On a effectivement des porteurs de projet humains. Je pense qu’il ne manque plus que ce soir que la troisième personne. La troisième roue j’ai envie de dire, c’est les investisseurs qui croient dans ce projet. Il y en a déjà deux ici. Alors Yvonnes et Frédéric vous investirez dans ce projet ?

[00:11:05.170] – Yvonne Barcelona
C’est, déjà fait.

[00:11:06.760] – Frédéric Struyf
C’est déjà fait

[00:11:06.760] – Philippe Szombat
Donc il n’y plus que moi qui suis en retard à la table.

[00:11:20.170] – Monsieur Ben
Donc juste je vais capituler dans ce dossier là pour que les auditeurs comprennent ce dossier là. Il est constitué de trois blocs importants. Premier bloc. Il est clair, nous croyons à l’activité événementielle et on est persuadé d’une reprise extraordinaire.

[00:11:48.870] – Philippe Szombat
Moi, j’aimerais justement rebondir là dessus. Taieb, tu es le fils de ton père. Évidemment, c’était bien trouvé, mais je l’ai sorti quand même. J’aurais pu rien dire. C’est vrai que c’est une personnalité, ton père. Maintenant, au-delà de ce dont tu as hérité, tu n’as pas eu non plus une vie dorée. Il ne faut pas croire. Je pense que ton père, t’a bien éduqué. Raconte nous un peu justement ce projet. Concrètement, est -e que l’évènementiel, les dernières années, l’évenement avant le COVID, est-ce que c’était un succès? Comment ça se passait en fait le Claridge ?

[00:12:33.320] – Taïeb Ben Yaghlane
En fait, il faut savoir que quand on est arrivé au Claridge, ça tournait principalement comme une boîte de nuit. C’était c’était une discothèque quand on a repris avant 2013. Et après avoir fait des gros travaux de rénovation, de rénovation pour mettre le Claridge vraiment à l’ordre du jour au niveau technologie, ça nous a permis de redémarrer l’activité avec une autre politique. On a décidé d’élargir les événements qu’on pouvait proposer des événements institutionnels, à des événements corporate, principalement. À tout ce qui est événements ethniques. On est devenu spécialistes dans tout ce qui est concerts ethniques. Le week-end, on faisait aussi pas mal d’événements privés. Tout ce qui est mariages, baptêmes offre tout type de cérémonies privées.

[00:13:19.090] – Taïeb Ben Yaghlane
En fait, ça tournait quasi non-stop. La grande contrainte de l’activité discothèque, c’est qu’on est limité à travailler le week-end. Ce qui n’est pas très intéressant et qui n’offre pas une qualité de vie très agréable pour les gens qui y travaillent. Ici on a réussi à développer plusieurs axes dans l’événementiel qui nous ont permis d’avoir un planning qui était bien chargé. On arrivait pratiquement à des semaines où on tournait à 5 / 6 jours par semaine dans les grosses semaines. Une activité très, très polyvalente. Et c’est pour ça que si je devais résumer la salle en un mot aujourd’hui, ça serait vraiment très, très polyvalente, ce qui nous permet d’accueillir aussi bien des tournages de films que des conférences, que des lancements de produits.

[00:14:03.250] – Philippe Szombat
Même des tournages de films, c’est pas mal.

[00:14:03.700] – Taïeb Ben Yaghlane
Oui, surtout que là, avec le COVID, on était obligé de trouver des alternatives, d’être créatifs.

[00:14:12.650] – Philippe Szombat
Et je pense que c’est la preuve d’une très excellente gestion, d’une part. D’un côté, vous avez remodelé, repensé tout le marketing et aussi les produits que vous alliez vendre au Claridge. Et passer un risque calculé, réfléchi, de passer du monde la nuit au monde des soirées, j’ai envie dire plus “corporate” et, surtout, de remplir le nombre de jours au Claridge et pas que ce soit une salle juste pour une nuit ou deux nuits.

[00:14:43.700] – Taïeb Ben Yaghlane
C’est vrai que ça été la grosse difficulté du début. Ça a été le gros pari qui a été réussi, finalement.

[00:14:49.790] – Philippe Szombat
Oui, largement.

[00:14:51.050] – Taïeb Ben Yaghlane
Exactement. tous les gens dans le monde événementiel étaient surpris que le Claridge change un peu d’orientation parce que c’était quand même une discothèque depuis plus qu’une dizaine d’années auparavant.

[00:15:01.610] – Taïeb Ben Yaghlane
A l’époque avait Paul Sterck, qui avait les deux salles, le Mirano et Claridge, qui était l’âge d’or des deux salles. Donc, après ça, faire le pari de changer d’orientation pour toucher du corporate, uandq on avait l’étiquette de discothèque, c’était assez compliqué. On a tenu bon. C’est vrai que les premières années ont été difficiles. Surtout au moment où on a ouvert, il y avait eu les attentats à Bruxelles et donc l’événementiel a pris un coup. On a eu quelques années un peu difficiles. On n’a pas connu le lancement qu’on aurait dû connaître suite à des investissements qui avaient été faits à l’ouverture. Mais avec le temps, juste avant t la crise, on avait 17 événements pour le fameux du mois de mars.

[00:15:49.460] – Philippe Szombat
17 évennements, c’est incroyable !

[00:15:49.460] – Taïeb Ben Yaghlane
Ca tournait à plein régime.

[00:15:54.980] – Philippe Szombat
Ca va reprendre. Il y a des pauses dans la vie, il y a des pauses à tous les niveaux et je crois que ça, c’est quelque chose qui va reprendre. Alors là, je pense qu’il y a pu vraiment vraiment de doute. J’ai envie de dire on va sortir de cette crise et on va, on va sauver le Claridge, Monsieur ben. Racontez nous un peu déjà ce projet

[00:16:15.200] – Monsieur Ben
Juste pour terminer. On a voulu parler d’activités événementielles qui sont le business principal. Maintenant, à côté de ça, il y a dans le projet BeeBonds, un investissement et il le faut. Il y a huit appartements,

[00:16:32.270] – Philippe Szombat
Donc vous allez vraiment rénover des appartements qui sont au dessus du Claridge, qui sont tout à fait isolés. On n’entendra pas une mouche voler dans la salle.

[00:16:41.210] – Monsieur Ben
La salle a été complètement retravaillée en terme acoustique et une étude d’un expert en événementiel a montré que la salle Claridge est la salle numéro 1 en qualité acoustique.

[00:16:54.140] – Philippe Szombat
Magnifique.

[00:16:56.570] – Monsieur Ben
Il y aurait 8 appartements dans le projet. Qui sont des grands appartements. Une moyenne de 100 m2 par appartement.

[00:17:08.900] – Philippe Szombat
Des beaux appartements, en plein centre de Bruxelles, pas loin de la Bourse

[00:17:15.560] – Monsieur Ben
Et pour information, toute la chaussée de Louvain a été déjà négociée. Pratiquement tous les projets ont été vendus sur plan.

[00:17:30.020] – Philippe Szombat
C’est connu, il y a un manque d’appartements dans Bruxelles.

[00:17:34.540] – Monsieur Ben
Tout ce qui est en face du Claridge a été vendu. Tout ce qui est à côté du Claridge a été vendu. Et il y a rien maintenant, mais tout a été vendu. Juste pour rassurer que ce volet là, côté appartement est un très bon créneau. Et d’ailleurs dans le projet.C’est un des scénarios avec le produit de la vente des appartements, nous allons rembourser les investisseurs.

[00:18:01.690] – Joël Duysan
C’est un beau projet. C’est un beau projet qui vient, qui vient au bon moment. Parce que parce que quelque part, l’évènementiel a subi la crise du COVID, les banques n’interviennent pas, comme le dit M. Ben. Et donc, la seule aide qu’on peut avoir, c’est une aide qui soit qui soit liée au financement du projet immobilier par une épargne citoyenne. Et Mr Ben s’engage à rembourser les investisseurs et à donner en plus une garantie.

[00:18:34.330] – Philippe Szombat
Au pire, entre guillemets, une catastrophe, c’est rien, on revend.

[00:18:38.230] – Joël Duysan
De toute façon, c’est ce que l’on veut faire. Le but, c’est de revendre.

[00:18:41.860] – Philippe Szombat
On recherche combien de fonds?

[00:18:46.750] – Joël Duysan
1,8 millions et la garantie porte sur un immeuble qui était valorisé à 3,2 millions d’euros.

[00:18:50.980] – Philippe Szombat
Donc le risque est 0, c’est aussi clair que ça. Alors quand même, un dernier mot. Une fois qu’on est arrivé au 1,8 millions d’euros, on ferme le robinet. C’est fini. Pour ceux qui veulent investir, que vous soyez, comme on le répète, des petits investisseurs, vous avez … c’est à partir de combien dans ce projet?

[00:19:10.620] – Joël Duysan
A partir de 1.000 euros.

[00:19:11.190] – Philippe Szombat
Vous avez 1000, 2.000, 3.000, 15.000 euros

[00:19:16.340]
Non, parce qu’il n’y a pas de tax shelter. On peut monter au plus qu’on veut.

[00:19:21.150]
Au plus haut qu’on veut. Jusqu’à un million. Oui, du coup, il y a déjà beaucoup. Voilà, deux investisseurs ont déjà mis beaucoup d’argent parce qu’ils y croient vraiment. En tout cas, je pense que c’est un beau projet.Sauvons tous ensemble le soldat Claridge. Voilà donc merci aux auditeurs. En tout cas, pour nous avoir suivi dans cette émission Tout Le monde Peut Entreprendre. C’est une très belle émission effectivement dédiée à l’entrepreneuriat. Et merci à tous nos auditeurs pour votre confiance. Et nous nous retrouvons mardi prochain en compagnie de Nadine Minampala. Bonne soiree et à très bientôt.