DĂ©couvrez le BeeBonds Podcast, le podcast de la plateforme de crowdlending BeeBonds qui vous fait dĂ©couvrir la personne, lâĂ©quipe, lâhistoire et le projet qui se cache derriĂšre chaque levĂ©e de fonds.Â
Dans ce premier Ă©pisode, on vous propose de partir Ă la rencontre de Marco Tessaro, fondateur dâAlphaSeed.
Table des matiĂšres
BeeBonds Podcast : Marco Tessaro, le financier au service du good food
Dans cet Ă©pisode, on vous prĂ©sente Marco Tessaro, fondateur de AlphaSeed. Marco est un financier devenu entrepreneur au service du good food.Â
DiplĂŽmĂ© de Solvay, Marco a dĂ©butĂ© sa carriĂšre au sein dâun âbig fourâ, avant de rejoindre une sociĂ©tĂ© industrielle suĂ©doise.Â
Marco Tessaro a fait ses premiers pas dans le food aprĂšs avoir Ă©tĂ© recrutĂ© par un fond dâinvestissement pour dĂ©velopper la master franchise de Burger King en Italie et en Pologne.
Pour Ă©couter Marco nous raconter son parcours depuis ses dĂ©buts au lancement dâAlphaSeed et dâun concept comme Pitaya :
De Burger King Ă AlphaSeed, une plateforme de financement des meilleurs concepts fast casual
âCe qui m’a toujours intĂ©ressĂ©, ce sont les chiffres, les process et les systĂšmes informatiques. J’ai un petit cĂŽtĂ© geek qui ne m’a jamais quittĂ©. Ăa, c’est le cĂŽtĂ© fil rouge reliĂ© Ă la finance, mais le vrai processus que rĂ©alisĂ© dans ma carriĂšre, c’est que je suis passĂ© du monde du corporate au monde de l’entreprenariat au sein du secteur food.âÂ
Pour Marco, le food est un secteur en pleine rĂ©volution qui a besoin dâun sĂ©rieux dĂ©poussiĂ©rage en termes de digitalisation. Il se souvient de ses dĂ©buts chez Burger King :Â
âLe vrai challenge est toujours le mĂȘme, c’est le scale-up : pouvoir mettre en place les gens, les outils et les process pour pouvoir gĂ©rer la quantitĂ©. Parce que quand on ouvre 30 restos par an sur un pays, il faut vraiment gĂ©rer la quantitĂ©. Tout ça est un puzzle qu’il faut assembler de façon trĂšs soigneuse.â
Avec Burger King, Marco Tessaro prend conscience de lâampleur de la rĂ©volution que connaĂźt le secteur. Il ne tarde pas Ă croiser le chemin de deux personnes clĂ©s pour AlphaSeed : Patrick Kuborn et Jacques Hansen (tous deux dĂ©tenteurs de la licence du Pain Quotidien au BrĂ©sil et en Colombie).Â
TrĂšs vite, la magie opĂšre entre les trois hommes : ils connaissent parfaitement le secteur food, le pratiquent au quotidien et partagent une mĂȘme vision.
Leur ambition commune : dĂ©velopper des chaĂźnes de fast casual, une grosse tendance sur le marchĂ©.Â
Ensemble ils lancent AlphaSeed une plateforme de financement spĂ©cialisĂ©e dans le segment de restauration rapide “de qualitĂ©”, style Exki ou Pain Quotidien.Â
âle fast casual, c’est quelque part entre le fast food et le service Ă table classique. Ăa ressemble au fast food en termes de process : le client rentre, commande et paye, avant de manger. Il passe prendre sa commande ou on lui livre son repas. C’est un segment du marchĂ© qui croĂźt le plus vite, c’est des taux de croissance de 8 Ă 10%. D’ailleurs, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la taille du gĂąteau augmente chaque annĂ©e dans les pays, dans les pays dĂ©veloppĂ©s ou mĂȘme dans le tiers monde. Les gens mangent de plus en plus dehors. C’est ce qu’on appelle le “out of home” ça croĂźt de 2 Ă 3% par an.â
Pour Ă©couter lâhistoire dâAlphaSeed, dĂ©couvrir ses valeurs et sa raison dâĂȘtre :
Fresh, show et digital : la recette du succĂšs de PitayaÂ
Aujourd’hui, AlphaSeed va lancer son premier projet de master franchise Pitaya, une chaĂźne de restaurants street thaĂŻ de restauration rapide de qualitĂ©.Â
Lâobjectif est dâouvrir dâici sept ans 70 restaurants au Benelux :
- 30 en Belgique ;
- 35 aux Pays-Bas ; et
- 5 au Luxembourg.Â
AprĂšs une ouverture rĂ©ussie en plein Covid au cĆur de la ville de LiĂšge et un premier restaurant situĂ© Ă Bruxelles qui cartonne, difficile de douter du succĂšs des woks proposĂ©s par Pitaya.Â
Pour Marco Tessaro, Pitaya est un concept Ă©vident sur lequel il faut impĂ©rativement miser :Â
âPitaya est un concept qui plaĂźt au plus grand nombre en France, qui marche trĂšs, trĂšs bien. En France, les franchisĂ©s font la file pour ouvrir des Pitaya parce que c’est relativement grand public comme type de cuisine et ça fonctionne.Â
C’est une nouvelle niche, en fait, typiquement dans une ville de taille moyenne, Ă Angers ou Ă Chartres, oĂč il y a le pizzaĂŻolo du coin, le Burger King du coin et le sushi, un ThaĂŻ Street Food comme Pitaya ajoute une nouvelle offre et c’est un succĂšs immĂ©diatâ.
Lâentrepreneur nous rappelle quâen plein Covid, Pitaya est un concept qui fonctionne extrĂȘmement bien en delivery et en take-away.
Aujourd’hui dĂ©jĂ , sur le rĂ©seau français, le chiffre d’affaires, c’est 50% en manger sur place, mais 25% Ă emporter et 25% livraisons avec les agrĂ©gateurs UberEats et Deliveroo.
Ecoutez Marco Tessaro nous raconter lâhistoire inspirante de Pitaya :
Vous souhaitez soutenir le projet dâexpansion de Pitaya pour le Benelux ?
DĂ©couvrez la campagne Pitaya sur BeeBonds qui propose un rendement de 8% dâintĂ©rĂȘts annuels bruts.